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La gestion des ACLs via l'EAD devrait pouvoir ne pas être récursive et ne pas dupliquer les modifications en ACLs par défaut.

Exemple : le besoin de donner des droits d'écriture à un utilisateur/groupe sur un fichier/sous-dossier, on a alors besoin de un droit d'exécution au dossier parent.

• droit d'exécution sur un dossier = droit de le "traverser" pour lire/écrire dans un sous-élément
• droit de lecture sur un dossier = droit d'en lister le contenu (en fait il faut lecture ET exécution pour lire/afficher correctement le contenu d'un dossier)

Pour attribuer les droits "rwx" à "www-data" sur "/home/workgroups/commun/web", il faut d'abord donner "x" sur "/home/workgroups/commun/"

Samba base l'héritage d'ACLs sur les ACLs par défaut ("default ACL", 'man smb.conf' => "inherit acls").

Comme les nouveaux dossiers créés dans "commun" depuis un poste Windows (via Samba) après cette modification d'ACLs ne doivent pas hériter de l'ACL ajoutée pour "www-data", cette ACL ne doit pas être dans les ACLs par défaut du dossier commun.

Ajouter les 2 options réglées sur "oui" par défaut ("récursif" ET "ajout en ACLs par défaut") et peut être une aide expliquant le rôle et la relation subtile des 2 options.

Afin de faciliter une remise à zéro, si "récursif" est cochée, le comportement devrait être du type "annule et remplace" : les ACLs des sous-dossier/fichiers devraient être effacée (ACLs par défaut aussi) avant l'application des nouvelles ACLs.